Levée à 6h30, nous sommes un peu dans le gaz.et c'est reparti, Cédric nous accompagne (à pied) à la gare de Nîmes.Le TGV est à l'heure, les valises montées, nous nous installons. Ensommeillées mais incapable de dormir, nous allons au wagon bar.Secouée, Claude aurait presque le "mal de train". Un comble après 6h de bateau.C'est Paris, les escaliers, les interminables couloirs de métro,nos bras et mains qui commencent à avoir mal,de nouveau le train et....Cormeilles où maman nous attend.
A mon arrivée, Katou est sur le balcon et je lui dis bonjour. J'appelle, en vain, Baïa. Elle qui répond comme un petit chien, n'arrive pas.Je suis un peu contrariée. Je me faisais un telle joie de la revoir. Apéro, déjeuner, départ de Claude...toujours pas de Baïa !La crainte, la tristesse m'envahissent. Je fais le tour de la résidence puis du quartier, nulle trace de chat écrasé. C'est déjà ça.Les heures passent et mon espoir s'amenuise, je ne crois plus à son retour !
Miracle, après le dîner elle réapparait, l'air un peu à l'ouest et ne "parlant" plus. Elle saute sur mes genoux qu'elle ne quittera plus jusqu'au coucher.
Comme je me suis sentie plus légère (malgré son poids) !!!!