Dommage que la profession d'écouteuse n'existe pas. Peut-être devrai-je créer un cabinet d'écoute à St Quentin pour arrondir mes fins de mois.
Ado déjà, les copains venaient chez mes parents me confier leurs peines de coeur.
A l'école, maints parents me racontaient un peu de leur vie privée. Mes amis me parlent volontiers de leurs problèmes, leurs questionnements. Même la coiffeuse qui est venue me faire ma permanente à la maison y a été de ses confidences sur ses états d'âme et ses problèmes remontant à l'enfance. Elle en pleurait la pauvre et le temps d'enroulement de mes cheveux s'est trouvé bien allongé.
Manifestement, j'ai une bonne écoute et les gens n'hésitent pas à se raconter. Mais j'ai plus de facilité à écouter qu'à m'épancher à fond.
Pas détudes particulères pour ça, pas de diplôme de fin d'études. Dommage que cela ne soit pas reconnu....