J'aurai pu écrire ces quelques lignes, aller au cinéma, il y a en ce moment à l'affiche des films qui me donnent envie, aller marcher au Plan d'eau du Canada, il faisait beau et chaud,aller à la piscine, hier.
Mais je n'ai pas bouger de chez moi. Ménage, télé, ordinateur,petit jeux. Je n'avais le courage de rien d'autre.
J'ai l'impression que ma semaine à Nîmes m'a déstabilisée, vidée, qu'elle m'a retirée tout mon punch. Je me savais atteinte, mais pas à ce point. Rien envie de faire seule. Et mes amis étaient en famille. C'est dans ces moments-là que la solitude pèse. La liberté de faire ce qu'on veut, comme on veut, quant on veut ne suffit pas quand la forme morale est partie !
Aujourd'hui, je me suis forcée. quelques courses dans le centre ville, les boutiques, quelques achats (pas bon pour le porte-feuille), mais tant pis.
Demain, j'ai du monde à dîner. Ça va me faire du bien !