Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Sur la crête de Razis

Dimanche 12 juillet :

image0-9.jpgAujourd'hui, nous montons en télé-siège en haut de la station. Au départ, nous étions bien décidées, contrairement à l'an passé, à ne pas tout redescendre à pied (en effet, l'an dernier nous avions, dès le premier jour de vacances, descendu la plate de la Nonne et le lendemain nos cuisses refusaient maints mouvements ).

Mais, arrivées au sommet, désirant faire un tour de l'autre côté de la crête, et vu l'heure de la dernière descente, nous decidâmes de demander au percheman le trajet le plus facile pour redescendre à la station.

Nous voilà donc parties, admirant des fleurs de toutes espècesS7300443.JPG en suivant un chemin qui, pensais-je à tort, nous permettrait un joli point de vue vers l'autre vallée. Soudain un grand cri, nous cherchons et arrivons à distinguer la marmotte qui nous avait repèrées.S7300442.JPG

Rebroussant chemin pour revenir vers Risoul, nous trouvâmes le sentier qui ramenait vers la crête un peu raide. Nous décidâmes alors de prendre un chemin qui paraissait nous amener de l'autre côté en contournant un peu. Oui, il nous ramena en haut de la station, mais à un endroit où nous ne vîmes aucun chemin pour redescendre.Nous descendîmes donc à travers champsS7300450.JPG, bénissant notre bâton de marche. Tout à essayer de protéger son genou fragile, Claude y perdit même son bob, compagnon de maintes randonnées.S7300452.JPG

Arrivées au bout de plus de deux heures à la station, nous nous offrîmes un petit coup à boire sur "le front de neige" en écoutant un orchestre jouer les succès des Shadows. Et le soir.....il passait "Les randonneurs" à la télé....

Commentaires

  • arrete de nous faire croire que tu preferes les chemins, traverser les patures est beaucoup plus agréable ! il me semble que tous les ans tu vis la même aventure
    quelle star Claude

  • Contrairement à ce que tu dis, à cette altitude et sur les pistes il n'y a pas vraiment de pâtures....
    la différence avec l'an dernier, c'est que le lendemain nous n'avions aucune courbature particulière, nous avions fait d'autres balades avant

  • tu chipote toujours sur les mots, comment appelles-tu donc ces grandes étendues d'herbe ?

  • ces grandes étendues d'herbe tu ne les as pas en haut, ou alors, elles sont parsemées de pierres et de ravines dues à la fonte des neiges. je t'assure que ça n'a rien à voir avec une balade dans les pâtures de l'Aubrac

Les commentaires sont fermés.